Lors de cette audience, plusieurs axes de discussions ont été abordés. Voici les principaux points discutés :
- Renforcement de la coopération régionale : Les discussions ont souligné l’importance de renforcer la coopération entre les organisations agricoles de la région pour promouvoir une agriculture durable et résiliente. Une telle coopération est essentielle pour partager les meilleures pratiques et les innovations technologiques.
- Intégration économique et commerciale : Les deux parties ont exploré des moyens d’améliorer l’intégration économique et commerciale au sein de la CEMAC, en mettant l’accent sur la facilitation des échanges et la réduction des barrières commerciales. Cela pourrait stimuler la croissance économique et créer de nouvelles opportunités pour les agriculteurs.
- Soutien aux petits exploitants agricoles : Un accent particulier a été mis sur le soutien aux petits exploitants agricoles, notamment à travers des initiatives visant à améliorer l’accès aux financements, aux technologies agricoles et aux marchés. Ce soutien est crucial pour augmenter la productivité et garantir la sécurité alimentaire.
- Développement des infrastructures agricoles : La nécessité de développer des infrastructures agricoles adéquates, telles que des routes rurales, des systèmes d’irrigation et des installations de stockage, a été soulignée pour améliorer la productivité et la compétitivité du secteur agricole. Des infrastructures solides sont la clé pour un développement agricole durable.
- Mise en œuvre des politiques d’import-substitution : Les discussions ont également porté sur la mise en œuvre de politiques visant à réduire la dépendance aux importations alimentaires en favorisant la production locale. Cela pourrait renforcer la souveraineté alimentaire et soutenir les économies locales.
Cette collaboration, avec la participation des différents États de la zone CEMAC, pourrait significativement renforcer l’engagement des deux institutions envers les communautés locales et les petits exploitants agricoles. En unissant leurs efforts, elles pourront mieux :
- Soutenir les communautés locales : En investissant dans des projets locaux, les institutions peuvent améliorer la qualité de vie des habitants, créer des emplois et stimuler l’économie locale.
- Aider les petits exploitants agricoles : En fournissant des formations et des ressources, cette collaboration permet aux petits agriculteurs d’adopter des pratiques agricoles durables, d’augmenter leur productivité et de garantir la sécurité alimentaire.
- Promouvoir l’intégration économique : En facilitant l’accès aux marchés et en améliorant les infrastructures, les institutions contribuent à une meilleure intégration économique des régions rurales.
- Favoriser le développement durable : En mettant en place des initiatives respectueuses de l’environnement, cette collaboration aide à préserver les ressources naturelles et à lutter contre le changement climatique.
En somme, ce projet de collaboration vise à créer un impact positif durable en combinant les efforts pour le bien-être des communautés locales et des petits exploitants agricoles, tout en soutenant l’intégration économique et le développement durable de la région.